Et qu'est-ce qu'il arriverait si la nature rentrairait dans nous, comme nous on rentre dans la nature?
Fabien Marelle, jeune artiste français, nous donne la réponse avec ses incroyables dessins.
Son style réaliste et minutieux, nous montrent un monde merveilleux des contes et légendes. À l'oeil nu il paraît de répresentations completement réalistes, mais l'artiste demande au espectateur d'examiner individualement les formes pour povoir se rapprocher a son monde. Un monde qui grâce a l'obsession du détail, nous fait voyager et vivre les rêves et les couchemars d'un individu qui se mêle avec la nature, qui est devoré par ses peurs et ses envies plus intimes.
"C’est mon but, mon défi, raconter une histoire. Ma feuille est une scène, un théâtre. L’équivalent en littérature serait une nouvelle, et sûrement pas un roman. Quelque chose de court, mais de très dense. Pendant les Beaux-arts, lors d’un échange, je suis allé vivre quatre mois en Chine. Je me suis alors retrouvé seul dans un immeuble en construction. Complètement seul dans cette grande tour... Toutes mes phobies d’enfance sont revenues. Je me suis mis en scène pour la première fois dans mes dessins et je me suis moqué de mes phobies, de mes peurs mythologiques. Depuis, je continue à me mettre en scène pour raconter mon quotidien, mes rêves, ou les petits événements qui jalonnent mes journées."*
Chaque dessin de l’artiste raconte une histoire, figure un instant. Le dessin est alors envisagé comme un théâtre. La mise en scène est un moyen d’exorciser. Sa technique évolue, il passe du crayon au marqueur très fin à l’encre, puis à la plume. Quant à la couleur, elle s’est introduite tardivement dans son œuvre, utilisée au début uniquement en grands aplats.
Fabien Mérelle s’interroge sur le monde qui l’entoure, dénonce avec beaucoup de poésie, des situations dramatiques. Les phantasmes sont suggérés, la réalité se mêle et dépasse le désir et vice versa. Fabien Mérelle reconnaît un réel désir de retour à la nature.
Mais arretons nous d'en parler, et introduisons nous dans le monde de rêves et couchemars avec ses dessins.
Fabien Marelle, jeune artiste français, nous donne la réponse avec ses incroyables dessins.
Son style réaliste et minutieux, nous montrent un monde merveilleux des contes et légendes. À l'oeil nu il paraît de répresentations completement réalistes, mais l'artiste demande au espectateur d'examiner individualement les formes pour povoir se rapprocher a son monde. Un monde qui grâce a l'obsession du détail, nous fait voyager et vivre les rêves et les couchemars d'un individu qui se mêle avec la nature, qui est devoré par ses peurs et ses envies plus intimes.
"C’est mon but, mon défi, raconter une histoire. Ma feuille est une scène, un théâtre. L’équivalent en littérature serait une nouvelle, et sûrement pas un roman. Quelque chose de court, mais de très dense. Pendant les Beaux-arts, lors d’un échange, je suis allé vivre quatre mois en Chine. Je me suis alors retrouvé seul dans un immeuble en construction. Complètement seul dans cette grande tour... Toutes mes phobies d’enfance sont revenues. Je me suis mis en scène pour la première fois dans mes dessins et je me suis moqué de mes phobies, de mes peurs mythologiques. Depuis, je continue à me mettre en scène pour raconter mon quotidien, mes rêves, ou les petits événements qui jalonnent mes journées."*
Chaque dessin de l’artiste raconte une histoire, figure un instant. Le dessin est alors envisagé comme un théâtre. La mise en scène est un moyen d’exorciser. Sa technique évolue, il passe du crayon au marqueur très fin à l’encre, puis à la plume. Quant à la couleur, elle s’est introduite tardivement dans son œuvre, utilisée au début uniquement en grands aplats.
Fabien Mérelle s’interroge sur le monde qui l’entoure, dénonce avec beaucoup de poésie, des situations dramatiques. Les phantasmes sont suggérés, la réalité se mêle et dépasse le désir et vice versa. Fabien Mérelle reconnaît un réel désir de retour à la nature.
Mais arretons nous d'en parler, et introduisons nous dans le monde de rêves et couchemars avec ses dessins.
(*) Extrait de l'entretien Fonds Canson, après avoir gagné en 2010 Le prix Canson.